Une étude montre que l’acide rosmarinique, dont l’effet déglycant a été démontré in vitro, susciterait de bons espoirs dans la prévention de la maladie d’Alzheimer, une pathologie directement associée à la glycation.
Cette étude japonaise de 2019, en double aveugle sur modèle animal, a montré que la supplémentation en acide rosmarinique pouvait supprimer l’accumulation de β amyloïde chez la souris atteinte d’Alzheimer. (1)
Il est probable que le mécanisme par lequel l’acide rosmarinique supprime l’accumulation de plaques β amyloïdes ne se fasse pas seulement par liaison directe mais également par un autre mécanisme qui reste à clarifier. L’activation de neurotransmetteurs est la piste privilégiée.
Il reste de nombreuses étapes à franchir avant une transposition de ces résultats chez l’homme, mais ces résultats confirment le potentiel de l’acide rosmarinique dans la prévention des maladies neurodégénératives.
A suivre.
© Age Breaker 05 2021
[La glycation est une des causes majeures du vieillissement. Résultant de la fixation des sucres sur les protéines constituant l’organisme, la glycation génère des composés toxiques qui entraînent le vieillissement cellulaire. La glycation est notamment impliquée dans les dérèglements métaboliques, le vieillissement cutané et le déclin cognitif.] [AGE BREAKER, compléments nutritionnels brevetés, à base d’acide rosmarinique, reconnus à travers le monde par les spécialistes du vieillissement pour ses propriétés permettant d’inverser les effets de la glycation.]En savoir plus : www.agebreaker.fr
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(1) : T. Hase et Al. Rosmarinic acid suppresses Alzheimer’s disease development by reducing amyloid β aggregation by increasing monoamine secretion. Scientific reports 8711. June 2019. doi.org/10.1038/s41598-019-45168-1
