On peut toujours tendre, retendre, lifter, injecter, booster la peau… Mais redonner de l’élasticité cutanée n’est possible qu’en prenant le problème à sa source : la glycation.
L’élastine donne aux fibres du derme l’élasticité qui permet à la peau de retrouver sa position originale après avoir été étirée. Les fibres élastiques sont synthétisées dans la période péri natale et dans l’enfance. A l’âge adulte le renouvellement de l’élastine est quasi nul sauf en cas de cicatrisation où la synthèse de l’élastine est réactivée mais de façon moins efficace.
L’élastine, une des protéines les plus résistante de l’organisme, est difficilement dégradable. Son point négatif est son très faible turnover (demi vie estimée à plus de 70 ans) qui l’expose aux dégâts de la glycation. Années après années les AGEs (produits de glycation avancés résultant de la fixation des sucres sur les protéines), créent des liens croisés qui réduisent définitivement l’élasticité de l’élastine.
La découverte récente des propriétés déglycantes de certaines molécules permet d’inverser cette situation. Ainsi la prise d’Age Breaker, premier produit déglycant disponible sur le marché a permis de restaurer en 1 mois 16.9 % d’élasticité cutanée (correspondant à 10 ans d’élasticité cutanée gagnés) chez des patients âgés de 58 ans en moyenne (1).
Alors, avant toute procédure plastique ou esthétique, surtout sur une peau mature (plus de 45 / 50 ans), la prescription d’une cure déglycante 2 à 4 semaines avant l’intervention s’impose comme la bonne pratique à adopter.
En savoir plus : www.agebreaker.fr