Ne pas respecter les rythmes biologiques de l’alimentation et du sommeil induit un mauvais métabolisme du glucose.
Notre organisme possède ses propres horloges biologiques basées sur un rythme circadien – environ 24 heures.
Ces rythmes biologiques, propres à chaque organe, permettent d’adapter l’organisme aux changements quotidiens prévisibles comme l’alternance jour/nuit ou alimentation/jeûne.
Le dérèglement de certains rythmes peut avoir de graves conséquences sur la santé.
Ainsi la régulation circadienne du métabolisme du glucose – un facteur clé des maladies liées au vieillissement – est réglée de façon à mieux tolérer le glucose le matin que l’après-midi ou le soir. L’ampleur de la variation circadienne de la tolérance au glucose est étonnement grande : la même dose de glucose, normalement tolérée le matin, pourra avoir des conséquences métaboliques de niveau pathologique le soir (1).
Le désalignement circadien, induit par une alimentation à index glycémique élevé le soir, augmente le risque de développer des maladies métaboliques comme le diabète et ses complications ainsi qu’un vieillissement accéléré.
Pire encore, le désalignement circadien induit par une exposition inappropriée à la lumière la nuit affecte également le métabolisme du glucose et la santé métabolique.
© AGE Breaker 11 2022
✅ [AGE BREAKER, compléments nutritionnels brevetés, à base d’acide rosmarinique, reconnus par les spécialistes du vieillissement à travers le monde pour leurs propriétés permettant d’inverser les effets de la glycation.]
✅ [La glycation est une des causes majeures du vieillissement. Résultant de la fixation des sucres sur les protéines constituant l’organisme, la glycation génère des composés toxiques qui entraînent le vieillissement cellulaire. La glycation est notamment impliquée dans les dérèglements métaboliques, le vieillissement cutané et le déclin cognitif.]
En savoir plus : www.agebreaker.fr
#agebreaker #glycation
(1): E. Poggiogalle et al. Circadian regulation of glucose, lipid, and energy metabolism in humans. Metabolism 2018 Jul; 84:11-27. DOI: 10.1016/j.metabol.2017.11.017