Différentes études mettent en évidence le rôle clé de la glycation dans la genèse de la maladie de Parkinson.
La maladie de Parkinson est le trouble du mouvement le plus courant. Avec environ10 millions de cas dans le monde, c’est la 2ème pathologie neurodégénérative la plus répandue après Alzheimer.
Sa fréquence augmente rapidement, doublement des cas en 25 ans. C’est une maladie complexe, multifactorielle avec une grande variabilité clinique, d’âge d’apparition et d’évolution.
La signature de la maladie de Parkinson est la présence d’agrégats protéiques intracellulaires principalement composés d’alpha-synucléine (aSyn), protéine abondante dans le cerveau.
Différentes études mettent en évidence le rôle central de la glycation dans la pathogenèse d’aSyn (1). Elles confirment les liens, déjà établis, entre diabète, sucre et développement des maladies neurodégénératives.
Ces découvertes, encore à un stade précoce, ouvrent la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques pour la prévention et peut-être un jour, le traitement de la maladie de Parkinson.
© AGE Breaker, mise à jour 01 2024
[La glycation est une des causes majeures du vieillissement. Résultant de la fixation des sucres sur les protéines constituant l’organisme, la glycation génère des composés toxiques qui entraînent le vieillissement cellulaire. La glycation est notamment impliquée dans les dérèglements métaboliques, le vieillissement cutané et le déclin cognitif.] [AGE BREAKER, compléments nutritionnels brevetés, à base d’acide rosmarinique, reconnus à travers le monde par les spécialistes du vieillissement pour leurs propriétés permettant d’inverser les effets de la glycation.]En savoir plus : www.agebreaker.fr
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1: A Chegao et Al. Unveiling new secrets in Parkinson’s disease: The glycatome. Behavioural Brain Research. Volume 442. Available online 24 January 2023. https://doi.org/10.1016/j.bbr.2023.114309
