GLYCATION QUOI DE NEUF ?

AGE BREAKER, fraction moléculaire titrée en acide rosmarinique : L’ACTIF DE RÉFÉRENCE contre les effets liés à la glycation.

Revue de publications scientifiques

Arthrose, cataracte, troubles de la cicatrisation… ces conséquences directes de la glycation sont toutes améliorées par l’acide rosmarinique, parfois de façon spectaculaire (1) (2) (3).

Très intéressant aussi, de nombreux paramètres associés au diabète et notamment l’inflammation chronique de bas grade sont également améliorés par l’acide rosmarinique (4) (5).

Plus étonnant encore, l’acide rosmarinique se révèle être un candidat prometteur pour la prévention d’Alzheimer (6).

Enfin il pourrait être un ingrédient favorisant une longévité en bonne santé (7).

Molécule issue de plantes alimentaires, l’acide rosmarinique présente un très bon profil en matière de sécurité sous réserve des types de plantes utilisées. Son efficacité repose sur une sélection rigoureuse de la plante et sur des techniques d’extraction et de fractionnement très sophistiquées. C’est pourquoi les produits contenant de l’acide rosmarinique sont loin d’avoir tous le même profil tolérance / efficacité.

Age Breaker, dont les chercheurs ont été les premiers à découvrir l’effet déglycant de l’acide rosmarinique (8), a mis au point une fraction moléculaire issue d’une extraction bioguidée de Rosmarinus officinalis, présentant une sécurité totale avec une efficacité 2,4 fois plus puissante que celle de l’acide rosmarinique pur.

© Age Breaker 07 2021

[La glycation est une des causes majeures du vieillissement. Résultant de la fixation des sucres sur les protéines constituant l’organisme, la glycation génère des composés toxiques qui entraînent le vieillissement cellulaire. La glycation est notamment impliquée dans les dérèglements métaboliques, le vieillissement cutané et le déclin cognitif.] [AGE BREAKER, compléments nutritionnels brevetés, à base d’acide rosmarinique, reconnus à travers le monde par les spécialistes du vieillissement pour ses propriétés permettant d’inverser les effets de la glycation.]

En savoir plus : www.agebreaker.fr

#agebreaker #glycation

(1) : Zhong-Nan Hu et al. The inhibitory effects of rosmarinic acid on catabolism induced by IL-1β in rat chondrocyte. 2018 12. Doi 10.18388/abp.2018_2607

(2) : M. Chemerovski-Glikman et Al. Rosmarinic Acid Restores Complete Transparency of Sonicated Human Cataract Ex Vivo and Delays Cataract Formation In Vivo. Scientific Reports. 2018; 8: 9341. Published online 2018 Jun 19. Doi: 10.1038/s41598-018-27516-9

(3) : P. Chhabra et Al. Augmented healing of full thickness chronic excision wound by rosmarinic acid loaded chitosan encapsulated graphene nanopockets. Published online: 13 May 2020. Doi.org/10.1080/03639045.2020.1762200

(4) : Sol María Quirarte-Báez et Al. A shortened treatment with rosemary tea (rosmarinus officinalis) instead of glucose in patients with diabetes mellitus type 2 (TSD) Sol, A Journal of Population Therapeutics & Clinical Pharmacology. Original Research. 2019 Dec 3;26(4):e18-e28. Doi: 10.15586/jptcp.v26i4.634.

(5) : L. Vasileva et al. Rosmarinic acid attenuates obesity and obesity-related inflammation in human adipocytes. Food Chem Toxicol. 2021. Mar;149:112002. Doi: 10.1016/j.fct.2021.112002

(6) : T. Hase et Al. Rosmarinic acid suppresses Alzheimer’s disease development by reducing amyloid β aggregation by increasing monoamine secretion. Scientific reports 8711. June 2019. Doi.org/10.1038/s41598-019-45168-1

(7) : Chunxiu Lin et Al. Rosmarinic acid improved antioxidant properties and healthspan via the IIS and MAPK pathways in Caenorhabditis elegans. Biofactor. First published: 17 June 2019. Doi.org/10.1002/biof.1356

(8) : D. Jean et Al. Evaluation in vitro of AGE-crosslinks breaking ability of rosmarinic acid. Institut des Substances Végétales, Clermont-Fd, France. Glycative Stress Research Center, Doshisha University, Kyoto, Japan. 12 2015. Doi.org/10.24659/gsr.2.4_204