GLYCATION & METABOLISME

L’EMBONPOINT ABDOMINAL, facteur prédictif majeur du veillissement

La glycation est au cœur d’interactions en cascades qui conduisent à des dérèglements métaboliques et à un vieillissement accéléré.

La malbouffe et un mode de vie sédentaire sont à l’origine d’un excès de production de graisses. Cet excès de graisses est stocké au niveau viscéral abdominal (et pas au niveau du tissu adipeux sous-cutané, lieu physiologique de stockage des graisses). Cet excès de graisse viscérale est à l’origine de l’insulino-résistance et d’anomalies métaboliques, aggravées par la glycation, elle même conséquence directe de l’excès de sucres (1).

Avant même l’apparition de pertes de fonctionnalités et de signes visibles du vieillissement, l’engrenage du vieillissement biologique est enclenché ; et de plus en plus souvent dès 30/35 ans.

Alimentation et hygiène de vie strictes permettent d’empêcher l’embonpoint abdominal d’évoluer en syndrome métabolique. La perte de poids et l’intensification de l’activité physique réduisent l’insensibilité à l’insuline, le taux de triglycérides tout en améliorant la tolérance au sucre.

La prise de compléments alimentaires déglycants permet également d’améliorer le contrôle du vieillissement lié aux dérèglements métaboliques.

© Age Breaker, mise à jour 10 2021

✅ [AGE BREAKER METABOLISM, complément nutritionnel breveté, à base d’acide rosmarinique, reconnu par les spécialistes du vieillissement à travers le monde pour ses propriétés permettant d’inverser les effets de la glycation.]

✅ [La glycation est une des causes majeures du vieillissement. Résultant de la fixation des sucres sur les protéines constituant l’organisme, la glycation génère des composés toxiques qui entraînent le vieillissement cellulaire. La glycation est notamment impliquée dans les dérèglements métaboliques, le vieillissement cutané et le déclin cognitif.]

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(1) : D. Sergi et Al. The Role of Dietary Advanced Glycation End Products in Metabolic Dysfunction. Molecular Nutrition and Food Research, April 2020. 2020. Doi.org/10.1002/mnfr.201900934